mardi 13 février 2018

Un an déjà !...



C’est donc très précisément aujourd’hui, chers amis d’Ovide, que nous fêtons le premier anniversaire du blog. Eh oui ! Le lundi 13 février 2017, je publiais un article intitulé « On se lance ? »...
Depuis, 2268 personnes ont visité le blog, originaires des cinq continents et de pays aussi divers – et inattendus – que le Zimbabwe, les Iles Solomon, la Malaisie, la Corée du Sud, les Emirats Arabes Unis…
La palme revient – on pouvait s’en douter – à la France (1738 visiteurs), suivie par les Etats-Unis (118), la Belgique (80), la Suisse (60), le Canada (41) l’Italie (29)...
Vous me permettrez d’accorder une mention spéciale à la Roumanie, pays francophile et assez francophone pour que 7 de ses ressortissants fassent partie de nos fidèles lecteurs.
En guise de cadeau d’anniversaire, la librairie Ombres Blanches a consacré sa rencontre d’aujourd’hui à la traduction des Tristesses que je viens de publier aux éditions Sables (http://www.sableseditions.fr/livres/tristesses-ovide.html). Hasard du calendrier ou signe des dieux ? Je vous laisse décider… Merci, en tout cas, à Ombres Blanches (https://www.ombres-blanches.fr/) !
Et merci à vous tous qui, de temps en temps, allez faire un tour sur le blog, y passez quelques minutes et en repartez après vous être, je l’espère, rafraîchi l’esprit au contact de l’actualité ovidienne. Certains d’entre vous m’écrivent, et je les remercie vivement pour leurs encouragements et pour les informations qu’ils me donnent. D’autres laissent un « like » sur Facebook. Mais, quoi que vous fassiez, je sais que vous êtes là, et c’est le lien ténu de votre présence discrète qui m’incite à envoyer mes bouteilles à la mer, avec la certitude que toutes ne se perdront pas…
Continuons donc ensemble et, ce soir, tel ce passant qu’Ovide apostrophe dans son épitaphe, lisons ces quelques vers en son honneur :

« Ci-gît Naso, baladin des tendres amours, poète.
 Son génie l’a perdu mais, si tu as aimé,
Qui que tu sois, passant, n’hésite pas à demander
            Que le repos soit doux aux cendres de Naso. »


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