mercredi 30 décembre 2020

Clytie et Latone au musée Fayet de Béziers

Voici ce que l'on peut lire dans le numéro du Midi Libre du 14-XII-2020 (https://www.midilibre.fr/2020/12/14/beziers-deux-tableaux-exceptionnels-de-brenet-reunis-au-musee-fayet-9256228.php) :

"Ce devait être un très beau cadeau des Musées de Béziers, pour la réouverture annoncée au 15 décembre. Las, cette date a été repoussée de trois semaines par le gouvernement. Il faudra donc que les Biterrois patientent encore un peu pour découvrir de visu ces deux chefs-d'oeuvre de Nicolas-Guy Brenet (1728-1792), peintre français majeur du XVIIIe siècle, qui viennent d'être accrochées au musée Fayet. Toutes deux reprennent le thème des Métamorphoses d'Ovide. 
Ces œuvres de grand format s’inscrivent dans le projet muséal du Palais des Évêques."

 Et voici les oeuvres...

On reconnaît bien Apollon, qui se détourne, dédaigneux, de la belle Clytie. La phase de métamorphose en héliotrope n'est manifestement pas encore enclenchée, mais les quelques fleurs qui poussent en bas à droite du tableau pourraient être les héliotropes en question... A vérifier in situ quand l'oeuvre sera visible...

 
Ici, on reconnaît très bien Latone, ses deux divins enfants - Diane et Apollon - et les paysans lyciens qui, refusant de laisser la maman se désaltérer à l'eau de leur mare, furent métamorphosés en grenouilles - le deuxième paysan n'a pas encore, me semble-t-il, la forme du batracien, mais il en a déjà la couleur. En bas à droite, un troisième est totalement métamorphosé...
Une curiosité : le palmier qui figure en deuxième plan est plus traditionnellement situé à Délos, l'île sur laquelle Latone a accouché ; c'est précisément sous son ombre qu'elle aurait mis les deux enfants au monde. Mais, à ma connaissance, personne n'a dit non plus qu'il n'y avait pas de palmier en Lycie...

Pour plus détail sur la fable de Clytie (Métamorphoses, IV, 190-270), cliquez sur ce lien-ci : http://bcs.fltr.ucl.ac.be/META/04.htm

Et pour celle de Latone (Métamorphoses, VI, 313-381), sur ce lien-là :

Bonne lecture, et merci à Jean-Christophe, un ami d'Ovide, de m'avoir informé de cet article du Midi Libre...



 

lundi 7 décembre 2020

Anne Brigman

Je ne connaissais pas la photographe américaine Anne Brigman (1869-1950), et je remercie Agnès, une grande amie d'Ovide, de me l'avoir fait découvrir.

Je ne sais si Anne Brigman appréciait Ovide, mais ce qu'il y a de sûr, c'est que le souffle des Métamorphoses passe comme une caresse sur ses photos.

A votre tour de vous enthousiasmer...

                             

Printemps 1906, en Californie. Un petit groupe d’hommes et de femmes parcourt les montagnes de la Sierra Nevada. Seulement accompagnés d’une mule qui porte les bagages, ils ont l’intention de passer plusieurs semaines en randonnée.
Rien d’étonnant pour les locaux qui les accueillent à leurs étapes... si ce n’est que leur meneuse est une femme, vêtue d’un pantalon et armée d’un appareil photo.
Il faut dire qu’à cette époque, il est plutôt inhabituel d’en croiser dans ce genre d’expédition. Mais l’intrépide Anne Brigman n’a peur de rien, et certainement pas de dormir dans un camp de fortune ou de croiser des animaux sauvages. Peu importe le danger, elle veut sortir et être libre.


 Cette photographe aventurière a en fait un but précis. Et ce n’est pas seulement d’immortaliser les grandioses paysages qu’elle découvre...
Elle souhaite réaliser des séances photo un peu particulières : arrivée dans des lieux intéressants, elle s’éloigne avec certaines de ses amies et les fait poser nues, devant les rochers ou les arbres. Elle-même se prête parfois à l’exercice !

Pour l’artiste, ce sont des images de communion avec la nature. D’ailleurs, elle retravaille ses clichés chez elle pour les flouter légèrement. Le but ? Que les corps se fondent dans leur environnement, comme s’ils en faisaient partie.


Anne Brigman, Le Pin solitaire, 1908, photographie, 19 x 25 cm, The J. Paul Getty Museum, Los Angeles

 


Anne Brigman, Âme du pin foudroyé, 1909, photographie, 20 x 29 cm, The William Hood Dunwoody Fund, Minneapolis Institute of Art

 


Anne Brigman, La Bulle, 1906, photographie, 16 x 23

 

Par la suite, ces photos rencontrent le succès... mais aussi pas mal de critiques qui les trouvent indécentes. Ce qui rend Anne Brigman furieuse ! Pour elle, ses œuvres n’ont rien d’érotique : elles montrent des femmes libres des règles qui les entravent.

 Anne Brigman continuera en tout cas ses randonnées photographiques. Et quoi qu’en disent les critiques, son œuvre marquera l’histoire de la photographie aux États-Unis. Cela valait bien quelques heures de marche !


Anne Brigman, La Brise, vers 1910, photographie, Nevada Museum of Art, Reno

 


Anne Brigman, Le Cèdre mourant, 1906, photographie, 23 x 16 cm, National Gallery of Art, Washington D.C. 

Merci à Artips (https://artips.fr/), à qui j'ai emprunté le texte de présentation...

mercredi 25 novembre 2020

Ovidius Mus bis

Vous avez été nombreux à apprécier la qualité des personnages, l'agrément du récit et l'originalité du traitement... Je vous fais donc partager un nouvel épisode des Métamorphoses, revues à sa façon par Jocelyn Demuth (http://www.latinahilara.com/about-me.html).

Aujourd'hui, ce sera donc l'histoire de Philémon et Baucis.

Bonne lecture.











mardi 17 novembre 2020

Pour vos cadeaux...

Sans doute avez-vous déjà eu en main un des ces beaux livres si richement illustrés édités par Diane de Selliers. Figurent, entre autres, au catalogue l'Iliade et l'Odyssée, le Décaméron, Don Quichotte et... les Métamorphoses, traduites par Georges Lafaye et illustrées par la peinture baroque.

https://editionsdianedeselliers.com/livre/la-collection/les-metamorphoses-dovide/

Voilà une idée cadeau qui devrait faire des heureux...

Si vous voulez faire plus ample connaissance avec cette éditrice, je vous invite à écouter sur France Musique l'émission "Musique émoi" que Priscille Lafitte lui consacrait dimanche dernier.

Il y est question (à partir de la 50e minute) des Métamorphoses, celles d'Ovide et celles de Benjamin Britten...

Bonne écoute !

https://www.francemusique.fr/emissions/musique-emoi/diane-de-selliers-editrice-88731 





mercredi 11 novembre 2020

Devant le casino désert...

Je vous propose aujourd'hui une balade à Constantza, la ville roumaine qui, du temps où Ovide y était exilé, se nommait Tomes.

Sans doute a-t-il marché sur la plage en surplomb de laquelle a été bâti, à la fin du XIXe siècle, un superbe casino, qui devait contribuer à faire de cette ville portuaire une station balnéaire prisée.


Voici ce que nous en apprend le site  https://www.urbexery.com/album/cazino/

Je vous livre l'article en "brut de traduction" ; vous retoucherez ce qui doit l'être...

"L'ancien #Cazino abandonné en #Roumanie a été construit en #1880, il a été conçu pour être un club et un centre communautaire pour les élites et les réseaux sociaux de classe supérieure prêts à dépenser. La version la plus moderne du Casino a été en service pendant 38 ans, avec interruption due aux deux guerres mondiales, attaquées et bombardées par les troupes bulgares et allemandes pendant la Première Guerre mondiale, ravagées pendant la Deuxième Guerre mondiale et, à un moment donné, agi en tant qu'hôpital de guerre de fortune. En 1948, il a été repris par le gouvernement communiste devenu une maison de la culture. Les dernières réparations majeures ont eu lieu en 1986-1988, et le bâtiment a été abandonné pendant longtemps, chanceux de lire que les travaux de rénovation ont commencé et hâte de voir cet incroyable bâtiment dans un nouvel éclat. "

L'extérieur est bien connu de tous ceux qui ont été à Constantza ; mais l'intérieur ?...

Je vous le fais découvrir sans plus tarder, mais non sans remercier Aline, une amie d'Ovide, pour sa publication sur FB. Et vous suggère ceci en accompagnement musical : https://www.youtube.com/watch?v=hogvxyBHJZQ

 











dimanche 8 novembre 2020

Ovidius Mus

 Eh oui, chères et chers amis d'Ovide !... Vous avez bien lu : "Ovide la Souris" et non "Ovide le Nez"...

Tel est le titre d'une charmante adaptation de quelques fables pour un public de jeunes lecteurs que nous devons à la latiniste Jocelyn Demuth. Je vous en propose ici un extrait : la fable de Pyrame et Thisbé.

Merci à Marie, une grande amie d'Ovide, de m'avoir prêté son exemplaire personnel d'Ovidius Mus...

 

Bonne lecture !













Et si vous souhaitez en savoir davantage sur Jocelyn Demuth, suivez le lien :

http://www.latinahilara.com

jeudi 22 octobre 2020

Ovide en Pléiade

Je vous l'accorde, chers amis, Ovide ne figurera pas seul dans ce nouvel exemplaire de la Bibliothèque de La Pléiade. Mais, bien sûr, il y figurera. Ainsi que Rimbaud, Baudelaire ou ... Pascal Quignard !

Vous voulez en savoir plus ? Voici...

Anthologie bilingue de la poésie latine

Trad. du latin par Andre Daviault, Jeanne Dion, Sylvain Durand, Yves Hersant, Philippe Heuzé, René Martin, Jackie Pigeaud et Étienne Wolff (1957...). Édition de Philippe Heuzé avec la collaboration d'Andre Daviault, Sylvain Durand, Yves Hersant, René Martin et Étienne Wolff (1957...)

Release on 22 Octobre 2020
Bibliothèque de la Pléiade, n° 652
Achevé d'imprimer le 17 Septembre 2020
1920 pages, rel. Peau, 105 x 170 mm 

Le latin survit à la chute de Rome. Il demeure pendant un millénaire (au moins) la langue de la philosophie, de la religion, du droit, des sciences, de la poésie. Ce livre célèbre la rencontre de la poésie et du latin, sur plus de deux mille ans. Il propose des poèmes de Lucrèce et d’Érasme, de Virgile et de Pétrarque, d’Ovide et de Politien, de Thomas d’Aquin et de Pascal Quignard. Le temps passe, la langue évolue peu. Le Moyen Âge invente de nouveaux systèmes rythmiques, la rime apparaît, la métrique classique ne disparaît pas. Quand il compose Ver erat..., l’élève Rimbaud utilise le mètre qui règne en latin depuis deux mille ans, l’hexamètre dactylique. Les premiers vers de l’œuvre poétique qui va tout emporter sont un condensé de l’héritage latin.
Rien de tout cela n’eût existé si le latin n’avait été que la langue d’un passé aboli. C’est une langue faite pour la poésie. Sa douceur, sa musique, dulcedo et sonoritas, enchantaient le jeune Pétrarque avant même qu’il ne la comprenne. Sa souplesse favorise le libre jeu des mots dans le vers, qui deviendra la marque du parler poétique. « Dans certaines langues, il n’est même pas possible de vouloir ce qui a été réalisé ici », déclare Nietzsche parlant d’Horace. Beau défi lancé aux traducteurs. Il s’ajoute à d’autres : bien des poèmes ne sont pas datables, et nous ne savons rien de bon nombre d’auteurs. Mais l’essentiel est ailleurs, dans le pouvoir qu’a la poésie de faire basculer le langage vers autre chose que la simple signification. Un archéologue n’a que faire d’un objet non situé. Un poème sans date, dont l’auteur n’est qu’un nom, si sa beauté nous transporte, que perd-il ?

Textes de Plaute, Térence, Cicéron, Lucrèce, Catulle, Virgile, Horace, Tibulle, Properce, Ovide, Sénèque, Lucain, Pétrone, Martial, Stace, Juvénal, Priapées anonymes, choix d’épitaphes ; les poètes païens des IIIe et IVe siècles, dont Ausone et Claudien ; les poètes chrétiens de l’Antiquité et du Moyen Âge, Lactance, Hilaire de Poitiers, Ambroise de Milan, Prudence, Sidoine Apollinaire, Boèce, Venance Fortunat, Paul Diacre, Alcuin, Raban Maur, Adalbéron de Laon, Fulbert de Chartres, Pierre le Vénérable, Geoffroy de Monmouth, Alain de Lille, Hélinand de Froidmond ou Thomas d’Aquin ; des hymnes liturgiques, dont le Salve Regina, les poèmes satiriques, moraux ou religieux des Carmina burana, la poésie érotique du Chansonnier de Ripoll ; les poètes de l’humanisme et de la Renaissance, notamment Pétrarque, Boccace, Politien, Érasme, Bembo, l’Arioste, Scaliger ou Giordano Bruno ; les Français Théodore de Bèze ou Joachim Du Bellay ; les Anglais Thomas More ou John Owen ; puis Baudelaire, Rimbaud, Giovanni Pascoli et Pascal Quignard.

Liste non exhaustive

                             

Si vous souhaitez feuilleter le livre, cliquez ici :

http://www.la-pleiade.fr/Catalogue/GALLIMARD/Bibliotheque-de-la-Pleiade/Anthologie-bilingue-de-la-poesie-latine#feuilleteur 

Et si vous souhaitez l'acheter, préparez-vous à soulager votre tirelire de 69,00 euros...

Un beau cadeau à faire ou à se faire...

mardi 6 octobre 2020

Excessive Writing

Si vous lisez l'allemand, vous aurez sûrement plaisir à découvrir l'ouvrage que me signale Paul, un grand ami d'Ovide, et dont voici les références :

Der vorliegende Band unterzieht Ovids Verbannung nach Tomis mit all ihren Konsequenzen für sein Werk und dessen Deutung einer umfassenden Analyse. Dabei wird auch danach gefragt, welche generischen und poetologischen, welche ästhetischen und psychologischen, welche sozialen und politischen Dimensionen Ovid in seinen im Exil entstandenen Texten verhandelt und wie sich das in den verschiedenen Phasen der Rezeption seiner Werke niederschlägt.

Die Beiträge eint der Versuch, Ovids spezifische (Schreib-)Situation in aktuelle Debatten über das Thema ‚Exil‘ einzuordnen und die Exilliteratur als eine radikale Form des Schreibens, als 'Exzessive Writing', zu begreifen. 

 

Et si vous ne lisez pas l'allemand, sachez qu'on y trouve aussi des contributions en français (Jacqueline Fabre-Serris), en italien et en anglais...

 

dimanche 4 octobre 2020

Actes du colloque "Présences ovidiennes"

Vous vous rappelez sûrement qu'un colloque international consacré à Ovide a eu lieu les 8, 9 et 10 novembre 2018 à Clermont-Ferrand à l'initiative d'Hélène Vial et de Rémy Poignault.

Eh bien sachez que les très riches communications de ces trois jours sont désormais disponibles : les actes du colloque sortiront incessamment des presses de l'imprimeur.

N'attendez donc pas pour passer commande !

                             

Collection CAESARODUNUM LII-LIII bis

PRÉSENCES OVIDIENNES

textes réunis par

Rémy POIGNAULT et Hélène VIAL

***

CLERMONT-FERRAND

Centre de Recherches A. Piganiol- Présence de l’Antiquité

2020

 


SOMMAIRE

Rémy POIGNAULT, Hélène VIAL : Ovidius in aeternum ?

Gianpiero ROSATI, Ovidio, il poeta antico della modernità.

I. De la traduction à la création

A) Traduire Ovide aujourd’hui

Isabelle JOUTEUR, Traduire les Héroïdes d’Ovide aujourd’hui : poésie des lettres d’amour - Jean-Luc LÉVRIER, Dans l’atelier du traducteur. Traduire Ovide aujourd’hui : l’exemple des Tristia, III, 3, 73-76.

B) Traduire, réécrire, réinventer

Stefania CERRITO, La métamorphose et son exégèse dans les rédactions brugeoises de l’Ovide moralisé en prose - Hélène CASANOVA-ROBIN, Interpretatio nominis, d’Ovide à Giovanni Pontano - Claire PAULIAN, La traduction des Métamorphoses par A. Golding chez G. Josipovici : lecture post-coloniale d’une traduction fondatrice.

C) Citer, commenter, critiquer

Gianmarco BIANCHINI et Gian Luca GREGORI, La réception épigraphique d’Ovide à Pompéi : CIL, IV 1595 = CLE 927 - Frank COULSON, The Figure of Medea in the Vulgate Commentary - Simone GIBERTINI, Les traces d’un lecteur ovidien inconnu du XVe siècle dans les marges du Codex Traguriensis (Paris, B. N. F., Latin 7989).

II. Réceptions littéraires de l’oeuvre ovidienne

A) L’Antiquité classique

Giovanni ZAGO, Echi di Ovidio nelle favole di Fedro - Francesca ECONIMO, L’Ipsipile di Stazio e la rilettura di Ov. Her. 6 : un gioco di triangolazione - Eleonora TOLA, Le bois de Némée chez Stace au miroir d’Ovide : aspects stylistiques d’une réécriture à plusieurs strates - Giuseppe RUSSO, Ovide chez Martial, entre poésie érotique et polémique littéraire.

B) L’Antiquité tardive

Marco ONORATO, La parola e il silenzio. Echi dell’ultimo Ovidio in un dittico paratestuale sidoniano – Luciana FURBETTA, Les multiples formes de la mémoire d’Ovide en Gaule du Ve au VIe siècle : enquête sur la présence et l’exploitation du modèle ovidien - Giampiero SCAFOGLIO, La présence d’Ovide dans la poésie d’Ausone – Jacques ELFASSI, Ovide chez Isidore de Séville.

C) Présence d’Ovide du XVIIe siècle à nos jours

Maurizio BUSCA, La constitution d’un répertoire de sujets « ovidiens » dans la tragédie française de la Renaissance au XVIIe siècle - Daniel-Henri PAGEAUX, Un journal apocryphe d’Ovide : Dieu est né en exil, roman de Vintila Horia - Franck COLLIN, Ovide réinvesti par Pascal Quignard : une poématique engagée dans le devenir - Baptiste RABSKI, Polémiques sur le praeceptor amoris : la réception française d’Ovide à travers la question de la représentation des femmes. Féminismes, libertinage et séduction à la française.

D) Le destin littéraire de grandes figures ovidiennes au fil des siècles

Cristina NOACCO, L’amour, la mûre et la mort. Résurgences littéraires du mythe de Pyrame et Thisbé (XIIe-XVIIe siècles) - Alessandra ROMEO, Le parole di Euridice : echi antichi e moderni di un motivo del mito orfico.

III. Ovide dans les arts figurés

Annie REGOND, Présences ovidiennes dans les châteaux d’Auvergne - Stefano GRAZZINI, La « Gigantomachie » d’Ovide dans les exégèses et dans les productions artistiques au Moyen Âge et à la Renaissance - Séverine CLÉMENT-TARANTINO, Les cabinets de Bailleul ornés de scènes mythologiques ou le triomphe d’Ovide.

Résumés

Index

 

BON DE COMMANDE à renvoyer au Centre A. Piganiol – Présence de l’Antiquité,

2, rue Abbé Girard, F-63 300 CLERMONT-FERRAND remy.poignault1@orange.fr

Je soussigné,

NOM et prénom …………………………………………………………………………………………….....…..

Ou INSTITUTION

Adresse …………………………………………………………………………….………………………………

vous prie de noter ma commande pour … exemplaire(s) de Caesarodunum LII-LIII bis, 2020, Présences ovidiennes ISBN : 978-2-900479-23-0, 545 p., ill. et de me le(s) faire parvenir.

 

Ci-joint la somme de … x 70 € + 8, 95 € pour frais de port en chèque bancaire, chèque postal (CCP 2393 10 D Nantes) ou virement international libellé au nom du Centre de recherches A. Piganiol-Présence de l’Antiquité.

IBAN FR 05 20041 01011 0239310D032 74 BIC : PSSTFRPPNTE